mardi 5 février 2013

PixBrouillons

Comme souvent quand je commence vraiment à me formater en mode boulot, je taffe, je m'amuse, j'écoute du son, pis j'ai envie de scanner toute les merdes pas finies que je ponds. C'est bizarre, je trouve.

 Mouton "Commando Style". Le soldat Mout' prêt à dézinguer du zombie, à pulvériser du tank, avec une ceinture pleine de batterie de manette Xbox 360.
 Le Mout' qui s'est fait rasé la couenne. Genre la surprise au réveil d'un long périple dans un jeu où il s'est fait tondre copieusement par les éditeurs...
Recherche sur une Mout' déchaînée, avec un joystick en guise de grosse népée dans le dos. Pas facile à faire, cette rapière, mais j'aime le rendu au niveau de la coupe iroquoise qu’elle se paye.

lundi 4 février 2013

vendredi 18 janvier 2013

Quelque chose de pourri au royaume du Danemark...

Putain mais... merde. MERDE ! Merde à la fin !

C'est ulcérant, crevant, épuisant de continuellement se faire emmerder par des "grosses corporations" de merde qui veulent à tout prix savoir comment je m'appelle pour de vrai. QU'EST-CE QUE ÇA PEUT BIEN VOUS FOUTRE, NAAL DINE ?!?

Je veux dire : je ne peux plus me connecter sur mon blog puis aller chercher une vidéo sur YouFUCKINGtube sans que l'on me réclame des informations personnelles. Et oui, un pseudonyme c'est trop difficile à lire, vous comprenez, c'est uniquement pour cette raison -voyons- que l'on vous propose -seulement propose, vous n'êtes pas obligé, hein- de nous donner -gracieusement et de façon consentie- votre nom et prénom.

Haha.

Je vous jure, ça me fait une sorte de fussoir... Parce que j'en ai marre de devoir m’identifier à chaque fois que je moufte sur le net, on dirait un putain d'état totalitaire virtuel avec des péages à chaque coin de rue, genre "pour votre sécurité", ou "pour mieux vous servir", etc. Et là, c'est vraiment l'ultime foutage de gueule, quoi : "PARCE QUE VOTRE PSEUDONYME EST DIFFICILE À LIRE".


...

Non, vraiment, vous trouvez que c'est une putain de raison valable? SÉRIEUSEMENT ?!!

"...Comme une chaise, vous êtes jolie... Enfin, jolie... Vous êtes plutôt passive, mais vous êtes pratique. Alors... Vous parlez peu, mais simplement, on pourrait pas s'en passer, parce que sinon ça voudrait dire qu'on est obligé de s'asseoir par terre."


Ensuite, oui, il y a en dessous le petit bouton "je ne veux pas utiliser mon nom complet", je sais. Mais vous savez où mènent 99,99998% de ces boutons ? C'est exact ! VERS UNE SECONDE PUTAIN DE FENÊTRE POUR NÉGOCIER AVEC VOUS !! Avec en tête de message "Voulez-vous vraiment poursuivre ?"

Et vas-y que je te donne un exemple de comment ça va rendre en accentuant bien le "mais c'est tellement mieux pour vous !", et vas-y que je repropose l'ajout du nom&prénom DE FAÇON DIFFÉRENTE, histoire de bien tenter mes chances... P'tain de merde, j'ai vu des mecs bourrés en soirée moins lourd que ça, quoi !! Véridique !

Et pour se débarrasser de cette seconde fenêtre, il faut soit assumer pleinement l'horreur, que dis-je, la VILÉNIE de ne pas mettre -snif snif bouhouuuh!- son nom&prénom, soit accepter que Youfuckingtube recommence à vous faire chier à votre prochaine visite.


C'est... insultant envers les utilisateurs de nous faire croire que c'est pour nous que ce genre d'informations sont collectées. C'est même pas nouveau : Facefuckingbook fait déjà ça depuis un bon moment, avec les publicités ciblées, la transformation de la localisation en page fan, des conneries de ce genre. Ils sont même aller jusqu'à m'interdire de changer ma date d'anniversaire, et impossible maintenant de faire quoi que ce soit pour la modifier ou la rectifier.

Je sais que ce n'est pas nouveau, je sais que j'ai l'air de tomber des nues, de vouloir me fighter avec moulins, mais face à ce genre de merde corporatives et intrusives, j'ai toujours beaucoup de mal à garder mon calme et à faire comme si c'était rien. Sincèrement, il y a quelque chose de pourri au royaume du Danemark...

mercredi 5 décembre 2012

Ce moment étrange où.

Ce moment étrange où

les créas passées deviennent



brouillons actuels.



jeudi 29 novembre 2012

Feary Tale

Ça fait un bon moment que je n'avais pas pris la peine de scanner un dessin. J'ai maintenant plusieurs carnets blindés de brouillons, de créa plus travaillées, mais non, je ne publie rien sur ce blog. Fichtre!

Heureusement, grâce à Vivi, je remédie à cette tragédie.

Un cadeau de Nouwel avant l'horaire!! Oui, après l'heure, mais j'ai bossé sur la petite fée, hein! =D

mercredi 7 novembre 2012

Vol au dessus d'un nid de caca


Voilà. Je sais bien qu'une fois encore, je ne fais pas dans la poésie, ni dans le glamour, ni dans les confiture à l'abricot. Navré. Je fais... Je fais ce que je sais faire de mieux : la merde.

La merde, oui. Personne ne parle de sa merde, personne n'aborde ce sujet sensible de vidange intestinale. Même si chier est tellement important dans nos vies, ce sujet est banni de nos civilités.

Et merde, tiens.

J'ai passé des lustres à écouter parler des types sans qu'à un seul moment ils n'osent faire allusion à leur déjection. Par pudeur, oui, mais pas que. On planque sa merde, on la cache, on la laisse dans le coin ombragé au fond de la pièce, on n'en cause pas, on en rit le moins possible, on oublie la merde, on l'abandonne à son triste sort d'étron dégoûtant...

On n'aime pas ça, la merde. C'est même pas une question d'assumer ou non sa création. Surtout qu'on peut jouer sur les mots, avec ça : "chacun sa merde", ou "hier soir j'ai fait de la merde", etc. Ce genre de merde, encore, on peut en parler. Et j'en sais quelque chose : je l'ai dit tout à l'heure, c'est ce que je fais de mieux.

Mais l'étron, la crotte, le Caca... Ah ça non, on dit rien.

Et c'est une norme, je sais bien, bien que j'ai parfois du mal, que je trouve ça drôle... Il ne faut pas. Même si tout le monde chie : c'est niet, nada, que dalle. C'est même un exercice pour moi, un effort à fournir pour vivre en société : "Non, ne pas en parler"...

Et oui, ça a l'air simple, comme ça, mais c'est ch... rude.

Dans tout les cas, c'est au nom de cette norme sociétale que l'on m'impose que je veux que vous aussi vous fassiez un effort : ne parlez plus jamais de Franck Dubosc. Ne le mentionnez plus, oubliez-le, dans un coin ombragé, tirez la chasse, que sais-je! Mais débarrassez la réalité de son absence totale de talent comique.


Merci.

mercredi 17 octobre 2012

Front d'Ambroisie sur Terrasse Humidifiante

Je reviens de nulle part, mais en un sens, et pour faire périple illustre, disons que non. Loin loin, là-bas loin, le pays où j'ai visité des catacombes titanesques, ai senti l'odeur de moisi des rois d'antan, de ces charognes depuis milles années saturniennes en putréfaction. L'angoisse même de l'ombre, vivante et invisible, bien au chaud dans le wagon des terreurs. Comme un parc d'attraction, les catacombes plonge dans le vide de nos effrois, puis remonte, tiré par des chaînes démesurées, jusqu'à une surface désertique. Au coin d'un arbre décharné, des sangliers tapent la belote en priant occasionnellement les cieux de leur offrir quelques gouttelettes de vin amer.

Quand on s'ennuie trop, on pédale un peu jusqu'au distributeur de monde désautomatisé. Pas qu'il fournisse quoi que ce soit, non; mais l'énergie ainsi accumulé dans les pinces de mollets permettront d'ouvrir un léger passage des ondes lointaines, lorsqu'on rentrera à la demeure branlante au milieu de ce lointain désert.

Le soleil se dédouble et meurt chaque douzaine d'heure. Un arrive, l'autre disparait. Une putain de journée éternelle, et aucun putain de nuages à l'horizon.

Des rivières flottantes, parfois, alors on les suit et on arrive à une incroyable montagne élevée parmi les décombres d'autres vaisseaux spatiaux. Le rythme des ondulations fait vibrer la vitre de notre appareil. Aucune photographie possible, mais quel spectacle!