mardi 16 novembre 2010

Et que sait Thé Râ (Piste 3, 4 & 5)

 Un brin de ciel. Paf! Comme ça, ouais!!

7 Novembre 2010 (Piste 3)
Le temps de chien pourrit l'ambiance, l'automne rend mieux en vrai. Il faut être automnal, semblerait-il, pour voir du beau dans le paysage.
12 Novembre 2010 (Piste 4)
14 Novembre 2010 (Piste 5)
Une matinale, l'autre déplacée, ça ne surprendra que le photographe qui galère dans les TGV...

mardi 2 novembre 2010

...Ou inversement (Piste 1 & 2)

Un jeu de piste amusant, du genre Mais où suis-je? alors que la réponse est "entre Paris et Lyon, ou inversement".
Milieu d'Octobre 2010 (Piste 1)

J'avais l'envie de voir l'évolution des saisons, et de mes trajets.

Mi-Octobre 2010 (Piste 1)

C'est simple: une ou deux photos par trajet. Une piste d'où je suis, entre Paris et Lyon (ou inversement) sans savoir où je suis. On prend le train, on sait où l'on va, d'où l'on vient, mais bizarrement, entre les deux... C'est loin.
1 Novembre 2010 (Piste 2)

Au prochain voyage, moins de blabla, plus de chocolat!!

dimanche 26 septembre 2010

Mandy la Mandragore

Un gribouillis, Mandy la Mandragore d'amour, pour changer du temps pourrite d'aujourd'hui... Non sérieux, ça gèle bordel!!

Et sinon, pour les sacrés petits chanceux qui peuvent encore accéder à la Gazette (hoho quelle aubaine! C'est bien amusant en ce moment, en plus!!^^) voici quelques badges pour vous préparer à l'hiver:
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Enjoy!

lundi 20 septembre 2010

ET BAH VIVE LES POULPES!!


Ah mais moi ses sèches qui se voilent le visage, j'aime pas, heiiiin!!...

Et ses étoiles de mer, là, avec leurs scooters, ils font un raffut!!  Quelle honte!!...

La faute aux parents, ça... Ils savent pas éduquer leurs planctons... Ils les balancent comme ça dans l'océan, sans en prendre soin...


Aaah! De mon temps les poissons, c'était autre chose, ma petite dame...

mardi 3 août 2010

Diamond Burger©: des burgers de qualité!!


Pour vous, Diamond Burger©, c'est l'assurance d'un goût prononcé et particulièrement rance sans jamais avoir à vous en plaindre!!

Chez Diamond Burger©, nos produits sont traités avec soin, jusqu'à ce qu'ils arrivent dans vos bouches!!

Diamond Burger©, c'est assurément un repas non-équilibré et hors de prix pour le plaisir des petits mais pas seulement des grands!

Pour votre sécurité, éviter de prendre le volant entre nos repas.

lundi 3 mai 2010

Là, battoir battez bâton



L’éclat du sud sur l’asphalte tumultueux du jour, l’énergie paradoxale du souffle de retour, lointain et ménagé dans sa chaleur par la candeur du signe céleste. L’unique intervenant pour plus tard de ce qui sera l’incertitude chronique et passagère, allez, attachez vos ceintures que diable, et laissez glisser le choc de la répercussion, contre ceci des cuivres et des cordes, un pavé qui s’encanaille des marches de l’opéra, tombe et s’écroule aux pieds de la scène, face aux sièges vide et rouges, l’immensité d’ici, flinguée dans l’orchestre, alors que le tapis décède aussi, aussi à son tour, à son tour également, également supprimé. Le théâtre se meurt pudiquement derrière son rideau, les bulles dosèrent leurs forces, les bulles ne chantent plus, les bulles de champagne non plus, l’histoire éternel des murs qui craquent et frappent, la fin des gradins, le beau monde, tous au balcon, tandis que s’énervent les percussions, tandis que disparaissent les contemplations, forgent, forgent en moi la certitude du renouveau parpaing, l’arrache la rage, l’acharne s’arrache, s’arrête et rage, s’arrête et s’arrache, s’arrache mais rage, rage mais s’arrête. Plus d’arrache, plus de roi plus de roue plus de courroie, dans le rideau qui tombe, seul, s’écrase et s’arrache, se déchire et s’étire, se relance et pourfend le sol, lourd et tiré de nouveau, réappliqué, le plancher piqué, pique et pique, livre son cœur à l’arrache, donne l’air arraché, pointé, limé, le sang du rideau qui meurt en lui, laissé là, là à l’air, là à l’ère sur le carreau. N’est-il pas un cri, un parlement, un pardon à expérimenter, à exprimer, à expier ici bas, alors que ci et là, que ça est ci. Les moellons s’y engouffrent, disparaissent dans le gouffre, disparaissent dans cette bouche, dents grisâtres, dents ébranlées, le visage édenté qui souffre du succès successeur, peut être bien, les bois dans l’orchestre mort, les tringles pourfendant le sommeil du siège, l’écroule de l’arrache, soudain happé par l’huile moteur du souffle extérieur, le sud ça ceci, s’assoie s’associe, sorry du souci, soudain suivi par des souris qui s’enfuient, supplient la bulle du soleil de midi, et crache l’air et la poussière, grimpent ici des étranges fourmis, scindées en certaines fratries, les masques anonymes du regard percuté, les sièges, devenus blancs et polis, pleurent le rideau de leurs yeux gris, oublient un instant leur mépris, leur mépris pour toute cette nouvelle compagnie venue ici, les mains jaunâtres, les pieds noirâtres, l’odeur grisâtre, le jour dans la nuit, l’irréel dans la magie, pour une fois, devoir achever la patrie, achever la partie.

Nul ne le sait cela, c’est une chose que l’on se dit, là la scène, distordue et décrépie, les miroirs écrasés, déchirés et violés, le mors aux paradis, aux rideaux aux rires et aux sons, tout cela, dans la fièvre des mots nait le démon, le jour le temple, le cuir du prédateur animalier, animé qui est de bulles et de forces, de pouvoir et de bétons, armé de la rage du papier, de l’absence du vice de la compatibilité, de la compassion face aux nouveaux sens de la comptabilité, de la consécration. L’huile qui coule dans les veines du petit être finira là les caves d’un sens giratoire, ou d’un immeuble, ou du tout nouveau chantier en herbe, en forme de l’heure bienveillante, relaxante plutôt payante, vois-tu, Louis taque housse job, alors job revient, l’action d’un séisme lointain, et son odeur de poudre jusqu’ici, les fondations d’un simple sourire abandonné à la fracturation, à la facturation, à la fiabilisation de demain. La porte ouverte au macadam à la noix, aux idées reçues, expérimentée et allons-y !

mercredi 14 avril 2010

Tu sais...

Tu sais, cette impression de mariner dans ton vomi, froid et liquide, tout autour de toi et qui te vide encore l'estomac...

Tu sais, cette sensation que l'avance que tu parviens à prendre mène définitivement à la ruelle déserte et sombre dans laquelle tu as toujours eu peur de t'écraser...

Tu sais, cette chose indistincte que tu te refuses à prononcer, qui vient parfois à la lumière du soleil apporter quelques friandises aux enfants sages...

Tu sais, le moment à peine dissimulé où tu vois que c'est fait exprès mais que tu fais semblant de rien, pour être dans le décor également, barbouillé de cosmétique comme tu aimes...

Tu sais, cet instant magique où c'est mieux parce qu'il n'y a aucun réflexion à avoir, et où enfin je glisse du statut objet inerte à celui d'existence plus intéressante...

Tu sais, ce jeu carnavalesque avec les fêtes et les étincelles, les confettis et les drapeaux, virevoltant, crachant, exaltant dans la chaleur du soleil de midi, les quelques artifices disparus et la somnolence incandescente du soupir profond, le râle de la chuchoterie, nu dans l'oreille d'un creux parfumé aux ambiances délicieuses de la veille épargnée et oubliée, désir polychromatique qui parachève de nous flinguer le cervelet au cours du temps zappé, mal-interprété et laissé aller, le cirque vide de spectateur, où tu es là, et les projecteur baissés alors que les feux continuent de s'allumer...

jeudi 1 avril 2010

Hell on Mars 2010

Outre cela, nous sommes aujourd'hui le 1er Avril. Si si, c'est pas une blague...

samedi 27 mars 2010

Ca gonfle, sérieux...

Une petite vidéo qui gonfle bien...

Vous pouvez y aller, laissez-vous bercer, y a rien d'effrayant là-dedans. =D

lundi 22 mars 2010

Vous avez 1 nouveau(x) message(s)...

Nouveau(x) message(s).

Reçu hier à 15h47:
"Bonjour cher monsieur!! C'est l'urne à l'appareil. Je vous appelle pour vous signaler qu'il va falloir venir me voir dans la journée et... Ah, je vous aperçois à l'entrée du bureau de vote. Très heureuse que vous soyez venu, finalement. Vous savez pour "qui" vous allez voter, exactement? Vous semblez hésiter face aux bulletins UMP et FN, je me trompe?... Ah, vous hésitez à les prendre, c'est bien ça?... Comme je vous comprend. Vous pouvez toujours tenter un vote blanc, sinon. Bien que, entre nous, les enveloppes utilisées sont tellement transparentes et légères que s'il n'y a rien à l'intérieur, c'est facile à voir. Même mieux: avec les jolies couleurs sur les bulletins des différentes tendances politiques, on peut deviner si vous avez voter à gauche ou à droite, grâce à l'incroyable frivolité des cosses électorales. De quoi vous dégoûter, non? Vous venez ici parce que votre conscience politique vous y a appeler, mais vous vous retrouvez à la foutre à poil devant quatre ou cinq inconnus à cause d'enveloppes transparentes format A7 dans lesquelles on vous demande de fourrer un papier format A4. Vous vouliez du secret? Pourquoi donc? Le résultat du vote d'aujourd'hui en est-il un, sincèrement? Vous êtes sans doute trop rêveur. En tout cas, cher monsieur, si vous décider de voter blanc, n'oubliez pas que ce n'est pas pris en compte par l'Administration. Vote contestataire? Non, on ne conteste pas, chez nous, monsieur. Ou alors faut manifester avec les hippies fumeurs de drogue. Sur ce, je vais vous ouvrir ma complicité, et dans une minute vous pourrez disparaitre dans le flot des grains de sable de ce deuxième tour, et rentrer chez vous tout satisfait d'avoir rejoint le rivage. Merci d'être passé me voir, et bonne chance, monsieur."

mardi 16 mars 2010

mardi 9 mars 2010

La Fleur du Cosmos


Une jolie fleur pour être offrir qui va danser dans le vent cosmique des dunes du sable rouge, là sur la planète lointaine, mmm et l'odeur du charbon qui réchauffe au bout...

J'en rêve, ça déride les articulations et parsème les peupliers...

samedi 6 mars 2010

Cookie + Tardis + Dalek = [???]

Juste pour le plaisir, un Cookie tout étonné de croisé le Tardis, et un Dalek prêt à tous nous EXTERMINER!!!

jeudi 4 mars 2010

Dimension Zero-Zero [...]

- Je sais à chaque fois que j'achète des chaussettes qu'il n'est pas toujours bon de posséder un blog. Ou plutôt d'y faire des articles...

- J'avais envie d'un Fan Art, sinon. Parce que ça faisait longtemps, et pis c'est sympa à faire. Du coup, j'ai brouillonné, prototypé, j'ai griffonné, je m'ai amusé.

- Trent Lane... Youk.

- Sinon, dans le genre prototype, j'ai voulu d'un robot dimensionnel inachevé (parce qu'il est encore planté dans un vortex, mais faut pas lui dire).


Un joli article, ça fait plaisir.

jeudi 11 février 2010

Tut tut tut...

Des jours déjà que dès que je pense à ce délicieux blog je désire un message de texte uniquement. Du texte, dépourvu d'images. Le sublime moment sans illustration à la force du crayon, en cet instant clavier qui grise la monotonie de monochromes divers. C'est l'étrange faculté du cosmophone de n'avoir obtenu aucun véritable article depuis sa création, il y a bien un an. Je l'avais désiré différent, je l'avais imaginé trois mois entier, déstructuré, désossé de sa matière de "blog", blog BD, blog perso, blog délire, blog machin, blog ceci. Un mince filet où balancer mes dessins pour me faire véritablement plaisir, sans désiré l'excès, l'excès qui blesse, qui rapplique et qui accroche tant de chose dans son sillage. Besoin d'un caractère sporadique, le numéro du cosmophone sur liste rouge, pour changer du noir.

Où en étais-je.

Oui, voilà.

Un an et les poussières d'étoiles qui l'accompagnent, le temps d'une caresse sur le Temps, mais c'est là, ancré, encré sans doute aussi, je n'ai fais aucun véritable article. La page noire, le feuilleton qui s'achève et qui... fait du bien. J'en désire des insultes, le tracas du pulsar lointain, l'étoile déchirante qui rejète ses planètes.

Dans un autre registre, Facebook devient un véritable capharnaüm dans ma cervelle. J'ai, je désapprouve, et j'approuve, l'illusion de suivre d'anciens amis. Dingue à quel point certain m'ont manqués, ou me manque toujours, mais fini l'age passé, nous, nos vies et notre facebook, nous l'avançons plus large que haut. Oh, me direz-vous, tant pis, l'histoire glissera la phrase en arrière. J'aime les revoir, comme les croiser. C'est que je les croise, seulement, je les croise.

Encore des vagues sur l'océan, la marche au plafond, le tapis du lustre et les fauteuils de guirlandes, ça compense les aiguilles du sapin, mais qu'est-ce que ça rend heureux...

Pour là, à l'envers.

Du charismatique et correctement crayonné Koko, balance bizarrement le bigarré Bimbo. Ce que j'aime ça, et le juste interspace, caché dans le noir du Temps, gravés les films, les remémorer, encore, et hop, au lit.

Bonne nuit si vous dormez.

vendredi 5 février 2010

Super Betty'z...

-- [ Musique d'ambiance ] --

Tout débute dans un instant de surprise où le jour s'est confondu dans l'instant des choses pâles. Au moment, l'illustre demoiselle se mis à être dessinée, actrice croquée, fleur endormie, et robe pas pareille du tout...

Alors il fallut relever la pesanteur du sol, et glisser çà et là de bien minces fils de caractères incommodes. Va-t-elle, petite fête? Plus tard sans doute, mais au moins les croqueurs croquent...
Dans le lit de l'eau, les chats somnolent en observant les lumières de l'arc-en-ciel. La danse, les danses dansent dansent, plus sombre encore les paupières qui se referment sur l'après-midi. Et pourquoi alors? L'on va faire craquer les croqueurs, faire flipper le flipper, et les enfants pas sages...
Et si soudainement tu dansais, dans l'espace du cube fermé, là où chaque membres désirent la fuite de l'autre, par la Terre et les planètes. Sans doute encore une pince de fête, mais je te l'assure, j'ai tendance à préféré le flipper, donc ne réfléchissons plus aux pinces imbéciles.

Encore un mot pour le surfait: chaque regard dans la pluie exerce nos fronts brulants de fièvre. Cherchons l'étrange...