jeudi 29 novembre 2012

Feary Tale

Ça fait un bon moment que je n'avais pas pris la peine de scanner un dessin. J'ai maintenant plusieurs carnets blindés de brouillons, de créa plus travaillées, mais non, je ne publie rien sur ce blog. Fichtre!

Heureusement, grâce à Vivi, je remédie à cette tragédie.

Un cadeau de Nouwel avant l'horaire!! Oui, après l'heure, mais j'ai bossé sur la petite fée, hein! =D

mercredi 7 novembre 2012

Vol au dessus d'un nid de caca


Voilà. Je sais bien qu'une fois encore, je ne fais pas dans la poésie, ni dans le glamour, ni dans les confiture à l'abricot. Navré. Je fais... Je fais ce que je sais faire de mieux : la merde.

La merde, oui. Personne ne parle de sa merde, personne n'aborde ce sujet sensible de vidange intestinale. Même si chier est tellement important dans nos vies, ce sujet est banni de nos civilités.

Et merde, tiens.

J'ai passé des lustres à écouter parler des types sans qu'à un seul moment ils n'osent faire allusion à leur déjection. Par pudeur, oui, mais pas que. On planque sa merde, on la cache, on la laisse dans le coin ombragé au fond de la pièce, on n'en cause pas, on en rit le moins possible, on oublie la merde, on l'abandonne à son triste sort d'étron dégoûtant...

On n'aime pas ça, la merde. C'est même pas une question d'assumer ou non sa création. Surtout qu'on peut jouer sur les mots, avec ça : "chacun sa merde", ou "hier soir j'ai fait de la merde", etc. Ce genre de merde, encore, on peut en parler. Et j'en sais quelque chose : je l'ai dit tout à l'heure, c'est ce que je fais de mieux.

Mais l'étron, la crotte, le Caca... Ah ça non, on dit rien.

Et c'est une norme, je sais bien, bien que j'ai parfois du mal, que je trouve ça drôle... Il ne faut pas. Même si tout le monde chie : c'est niet, nada, que dalle. C'est même un exercice pour moi, un effort à fournir pour vivre en société : "Non, ne pas en parler"...

Et oui, ça a l'air simple, comme ça, mais c'est ch... rude.

Dans tout les cas, c'est au nom de cette norme sociétale que l'on m'impose que je veux que vous aussi vous fassiez un effort : ne parlez plus jamais de Franck Dubosc. Ne le mentionnez plus, oubliez-le, dans un coin ombragé, tirez la chasse, que sais-je! Mais débarrassez la réalité de son absence totale de talent comique.


Merci.