jeudi 11 février 2010

Tut tut tut...

Des jours déjà que dès que je pense à ce délicieux blog je désire un message de texte uniquement. Du texte, dépourvu d'images. Le sublime moment sans illustration à la force du crayon, en cet instant clavier qui grise la monotonie de monochromes divers. C'est l'étrange faculté du cosmophone de n'avoir obtenu aucun véritable article depuis sa création, il y a bien un an. Je l'avais désiré différent, je l'avais imaginé trois mois entier, déstructuré, désossé de sa matière de "blog", blog BD, blog perso, blog délire, blog machin, blog ceci. Un mince filet où balancer mes dessins pour me faire véritablement plaisir, sans désiré l'excès, l'excès qui blesse, qui rapplique et qui accroche tant de chose dans son sillage. Besoin d'un caractère sporadique, le numéro du cosmophone sur liste rouge, pour changer du noir.

Où en étais-je.

Oui, voilà.

Un an et les poussières d'étoiles qui l'accompagnent, le temps d'une caresse sur le Temps, mais c'est là, ancré, encré sans doute aussi, je n'ai fais aucun véritable article. La page noire, le feuilleton qui s'achève et qui... fait du bien. J'en désire des insultes, le tracas du pulsar lointain, l'étoile déchirante qui rejète ses planètes.

Dans un autre registre, Facebook devient un véritable capharnaüm dans ma cervelle. J'ai, je désapprouve, et j'approuve, l'illusion de suivre d'anciens amis. Dingue à quel point certain m'ont manqués, ou me manque toujours, mais fini l'age passé, nous, nos vies et notre facebook, nous l'avançons plus large que haut. Oh, me direz-vous, tant pis, l'histoire glissera la phrase en arrière. J'aime les revoir, comme les croiser. C'est que je les croise, seulement, je les croise.

Encore des vagues sur l'océan, la marche au plafond, le tapis du lustre et les fauteuils de guirlandes, ça compense les aiguilles du sapin, mais qu'est-ce que ça rend heureux...

Pour là, à l'envers.

Du charismatique et correctement crayonné Koko, balance bizarrement le bigarré Bimbo. Ce que j'aime ça, et le juste interspace, caché dans le noir du Temps, gravés les films, les remémorer, encore, et hop, au lit.

Bonne nuit si vous dormez.

vendredi 5 février 2010

Super Betty'z...

-- [ Musique d'ambiance ] --

Tout débute dans un instant de surprise où le jour s'est confondu dans l'instant des choses pâles. Au moment, l'illustre demoiselle se mis à être dessinée, actrice croquée, fleur endormie, et robe pas pareille du tout...

Alors il fallut relever la pesanteur du sol, et glisser çà et là de bien minces fils de caractères incommodes. Va-t-elle, petite fête? Plus tard sans doute, mais au moins les croqueurs croquent...
Dans le lit de l'eau, les chats somnolent en observant les lumières de l'arc-en-ciel. La danse, les danses dansent dansent, plus sombre encore les paupières qui se referment sur l'après-midi. Et pourquoi alors? L'on va faire craquer les croqueurs, faire flipper le flipper, et les enfants pas sages...
Et si soudainement tu dansais, dans l'espace du cube fermé, là où chaque membres désirent la fuite de l'autre, par la Terre et les planètes. Sans doute encore une pince de fête, mais je te l'assure, j'ai tendance à préféré le flipper, donc ne réfléchissons plus aux pinces imbéciles.

Encore un mot pour le surfait: chaque regard dans la pluie exerce nos fronts brulants de fièvre. Cherchons l'étrange...