Des jours déjà que dès que je pense à ce délicieux blog je désire un message de texte uniquement. Du texte, dépourvu d'images. Le sublime moment sans illustration à la force du crayon, en cet instant clavier qui grise la monotonie de monochromes divers. C'est l'étrange faculté du cosmophone de n'avoir obtenu aucun véritable article depuis sa création, il y a bien un an. Je l'avais désiré différent, je l'avais imaginé trois mois entier, déstructuré, désossé de sa matière de "blog", blog BD, blog perso, blog délire, blog machin, blog ceci. Un mince filet où balancer mes dessins pour me faire véritablement plaisir, sans désiré l'excès, l'excès qui blesse, qui rapplique et qui accroche tant de chose dans son sillage. Besoin d'un caractère sporadique, le numéro du cosmophone sur liste rouge, pour changer du noir.
Où en étais-je.
Oui, voilà.
Un an et les poussières d'étoiles qui l'accompagnent, le temps d'une caresse sur le Temps, mais c'est là, ancré, encré sans doute aussi, je n'ai fais aucun véritable article. La page noire, le feuilleton qui s'achève et qui... fait du bien. J'en désire des insultes, le tracas du pulsar lointain, l'étoile déchirante qui rejète ses planètes.
Dans un autre registre, Facebook devient un véritable capharnaüm dans ma cervelle. J'ai, je désapprouve, et j'approuve, l'illusion de suivre d'anciens amis. Dingue à quel point certain m'ont manqués, ou me manque toujours, mais fini l'age passé, nous, nos vies et notre facebook, nous l'avançons plus large que haut. Oh, me direz-vous, tant pis, l'histoire glissera la phrase en arrière. J'aime les revoir, comme les croiser. C'est que je les croise, seulement, je les croise.
Encore des vagues sur l'océan, la marche au plafond, le tapis du lustre et les fauteuils de guirlandes, ça compense les aiguilles du sapin, mais qu'est-ce que ça rend heureux...
Pour là, à l'envers.
Du charismatique et correctement crayonné Koko, balance bizarrement le bigarré Bimbo. Ce que j'aime ça, et le juste interspace, caché dans le noir du Temps, gravés les films, les remémorer, encore, et hop, au lit.
Bonne nuit si vous dormez.
Où en étais-je.
Oui, voilà.
Un an et les poussières d'étoiles qui l'accompagnent, le temps d'une caresse sur le Temps, mais c'est là, ancré, encré sans doute aussi, je n'ai fais aucun véritable article. La page noire, le feuilleton qui s'achève et qui... fait du bien. J'en désire des insultes, le tracas du pulsar lointain, l'étoile déchirante qui rejète ses planètes.
Dans un autre registre, Facebook devient un véritable capharnaüm dans ma cervelle. J'ai, je désapprouve, et j'approuve, l'illusion de suivre d'anciens amis. Dingue à quel point certain m'ont manqués, ou me manque toujours, mais fini l'age passé, nous, nos vies et notre facebook, nous l'avançons plus large que haut. Oh, me direz-vous, tant pis, l'histoire glissera la phrase en arrière. J'aime les revoir, comme les croiser. C'est que je les croise, seulement, je les croise.
Encore des vagues sur l'océan, la marche au plafond, le tapis du lustre et les fauteuils de guirlandes, ça compense les aiguilles du sapin, mais qu'est-ce que ça rend heureux...
Pour là, à l'envers.
Du charismatique et correctement crayonné Koko, balance bizarrement le bigarré Bimbo. Ce que j'aime ça, et le juste interspace, caché dans le noir du Temps, gravés les films, les remémorer, encore, et hop, au lit.
Bonne nuit si vous dormez.